Évidemment, on ne va pas tourner du pot, les experts vous ont déjà expliqué que c’est une maladie chronique évolutive incurable et qu’il faut l’accepter ainsi.
Désormais, cela fait des mois, voire des années que la maladie vit en vous. Mais la situation ne s’améliore pas, vous prenez plus de médicaments, vous avez davantage de visites de contrôles, de complications, etc.
Le premier ennemi à combattre, c’est le conformisme et la soumission à l’autorité « médicale pharmaceutique », à qui vous avez délégué votre capacité de comprendre le mal.
Il faut agir à contre-courant des dogmes qui ne servent que les intérêts des multinationales du médicament.
Une épidémie planétaire très supérieure au covid19, 463 millions de diabétiques en 2019.
Le diabète est un monstre dévastateur, il s’attaque à tout votre corps, il se faufile à travers le sang pour mieux ronger les vaisseaux, les nerfs et les organes.
Il fait peur, mais en réalité la bête est fragile si on s’attaque à la première cause, la vraie cause et pas simplement sa conséquence symptomatique sanguine.
La médecine du diabète est aveuglée par la glycémie, elle ne s’intéresse qu’à cela, glycémie à jeûne, HbA1c.
Elle tente de la contrôler avec des pilules chimiques externes alors que ce n’est que la conséquence de la résistance à l’insuline interne par les cellules.
Le diabète est avant tout une overdose de sucre, le corps est littéralement débordé, il ne sait qu’en faire.
Notre biologie n’est pas programmée pour une alimentation qui stimule autant notre insuline, l’hormone centrale énergétique.
Cette stimulation permanente de l’insuline provoque une résistance des cellules à cette hormone bloquant ainsi l’ouverture à tout le glucose supplémentaire à l’intérieur des cellules.
Retrouvez une sensibilité à l’insuline en 3 étapes :
-Définir ses objectifs et avoir un programme de bascule métabolique précis, car nous sommes tous différents pour tenir sur le long terme. Mesurer ses constances biologiques pour aller vers la bonne direction.
-Stimuler le moins possible l’insuline par son alimentation en adoptant un régime faible en glucides, rassasiant, sans frustration ni risque de chute ou d’effet yoyo.
-Permettre à son corps de déstocker et d’utiliser tout le sucre cumulé sous forme de réserve graisseuse qui encombre vos organes.
Il faudra donc se transformer, changer ses habitudes, la manière et les types d’alimentations, etc.
Notre santé est notre possession unique, c’est la base d’une vie heureuse, sans elle, plus de salaire, de voyage, de sport, de passion, de vie amoureuse, etc.
Elle est gâchée, la santé doit être notre priorité absolue, bien avant tout autre chose.
La « maladie » ne nous tombe jamais dessus par hasard, prévenir et connaître sa vitalité est une stratégie pour ne jamais être surprise.
Jean, L'hygiéniste du diabète
Mon histoire rapidement, en réponse à des problèmes de santé sans réelle solution, je me tourne vers l'hygiénisme et la naturopathie, je me soigne, me passionne et en fais finalement une seconde carrière après des années en biologie médicale. Le diabète n'a évidemment pas épargné une partie de ma famille. Face à tant de souffrances et de dépenses inutiles, alors que des changements de vie et des traitements naturels sont si efficaces, j'en fait ma mission pour aider le plus grand nombre prie au piège des médicaments, de complications et de contraintes lourdes qui empoisonnent une vie heureuse.
